I : dans les alvéoles destinées à la galerie d'exposition d'une petite ville de province aux légendes authentiques qui remontent au siècle où les oeuvres synaptiques reposaient dans l'humilité d'une réflexion d'académicien qui se suffisait souvent de la courbe d'une direction mal tracée pour s'imbriquer dans son balancement d'obsessions et des souvenirs dont l'auteur prie la condition comme un voleur sort de chez lui avec les mains chargées d'objets précieux et de cadeaux pour les orphelins des militaires tombés au fond de la dernière des guerres pour que les dernières gouttes d'un verre fêlé dégringolent sur l'oesophage de l'amoureux transit au comptoir outremer d'un café littéraire bondé de peuples en tous genres qui se demande brusquement pourquoi être tant balayé sans jamais entrer dans la phase cadencée par le heurt saccadé des algorithmes passionnels qu'on leur considère un peu trop souvent en dérive à la pointe de l'extrémité de l'invincible combat entre le fanal estompé de l'évidence terrestre où l'ancre n'est valable que si la chaîne broie le pied qui se prend sans les gants d'une protection minimum à savourer lentement et la langue qui ne sert pas à parler des langues étrangères sous le respect scolaire de leur autorité et se méprennent à des civilités laïques ou des mondanités d'austères compensations en comparaison avec la somme avancée que le menteur à arraché à la dent du moribond rompu à la vague tranchée qui sillonne le champ d'une révolte agricole écartelée au rocher brumeux dont le fils comédien joue la facette personnelle de son restant d'idée scrupuleuse