Noeud : la meute des phalènes obscures, tous extraits de la lampe, dépeint des palissades entre nous. Après s'être écoulé dans l'air tiède cerné d'ortie et de menthe, elle s'inscrit dans le cercle parfait de nos saisons d'ardoise sèche, au dos de la vitre en bataille : "Ma nuque est venue se figer dans un éclat de honte qui n'arrête plus de se briser". Ma silhouette larmoyante exprime sa mine de plomb et tous les carnets de rire remâchés comme une orange son jus. A l'oraison grossier de sa chrysalide, outre l'abri fixé, elle se file une seconde peau soyeuse, exactement adaptée. Parfois les réseaux en son lâches, ou irréguliers, et plusieurs larves phosphorescentes nagent au-dedans ou flottent dans la vase. La bouche ouverte. L'armoire est close. Mais si plus un doute n'est à y apposer : à barrer cette damnation en friches, herse brute, invectivée, jamais kidnappé, le masque neutre, offert par quelqu'un, retrouve, sous tout unique, véritable wagon xénophage, yeux zébrés, dans la calotte du sac de glace de la besogne, les bibelots gigognes de mon courroux, à découper avant l'étranglement.