Phalange : pour les monstres virtuels placés à la tête d'un service de table dont l'erreur fatale sera de consacrer un jeune brin de courtoisie au contrôle permanent des compétences aquises au profit du sourire et d'une farce de médiocre facture mais estimée à la revanche d'un luxe outrancier que l'émission d'un désastre à carcasse de fléau poursuit continûment dans le prolongement glacé d'une gorgée de temps qu'on rémunère dans la crise par d'enthousiasme suranné des démons polyvalents qui voguent pour la victoire d'un jour sans pain ni condiments auxquels se fient des luttes de gencives nouées pour la réminiscence d'une sobre rêverie d'aveugle collectif en peine mutation météorologique auprès de laquelle les premiers fabriquants d'effets de vérité ont partagé leur volonté d'orientation vers la vie difficile qui s'efface au quotidien sous la divine découverte de la faim et qui jette nos bons hommes à la poubelle comme des outres vides et d'anciens papiers gras qu'on a vu voler dans les tourbillons de printemps et qui ne portent plus maintenant de paroles à la bouche assez intéressantes pour attiser les convoitises ni même de colliers à leur cou d'un éclat à s'en retourner les poches sur un coin de zinc pour voir à qui donner les miettes d'un rêve exclu du repas de noces ou de toute la croisière et qui manque de discipline et qui tend l'interdit à la limite de l'affaissement et qui pousse la forme jusqu'au meurtre de compagnie comme une pièce décomposée veut être aux dépens de la lettre qui défie les rebonds de la page brûlée et qui offre à mâcher aux joues et à la paume ce que la pâte molle du jour laisse à charrier de l'un à l'autre à l'un avec les ultimes contorsions énigmatiques employées à se tendre vers le temps du naturel comme un ver mis à l'appât au bout d'une ligne digitale pour ouvrir à tout orgasme vocable la franche intime et le dessein transcrit dans une pure éclosion de circonstances nées à l'endroit même où se déployait précédemment des charabias vains comme des cailloux à peine entrechoqués ou des couverts qui se touchent entre eux sur le plat de langue avec la douceur d'un saphir qu'on verrait s'inscrire plus profondément dans le vinyle charnu de la parole et qu'un effort de la main pourrait amener au degré zéro de la manière avec ce qui reste de la matière dans les fantômes d'une fumée de paille bleue qui s'élève au-dessus de nos tête lourdement attachées à nos corps lourdement attachés à la surface dépolie du sol lourdement attaché au vide qui se répand en volutes et se passe allègrement de la compréhension des assemblées de mathématiciens attachés lourdement en cohortes défraîchies à force de suivre l'emballement du pied ou celui des pinceaux errants autour du cadre comme autour d'un pot cerné de volets clos aux abords de l'aube épineuse et passagère du front qui suffit à l'homme toujours moderne pour condenser en ces petites gouttelettes savonneuses de vérité qui fardent les yeux de l'architecte comme une maigre grue à la portée d'un phare accélère sur la route circulaire et au passage glacé de sa roue foraine décidée à ne projeter de terme à sa douleur que dans les profondeurs et l'impénétrabilité de la paix répendue comme le sang sur le monde et soudable à des armoires garnies d'eau fraîche et de verts pâturages laizée de marges perpétuelles comme laréminiscence du décès vital de la grande ourse abandonne déjà loin en amont ses allures ampoulées de casserole percée à un trou noir béant de laiton cuivré qui laisse s'écouler le temps des choses et les époques d'une année sans l'éveil matinal ni le bâillement défiguré au charisme inébranlable d'un gardien de la nuit en armure de templier céleste ou de l'ange qui tend à froisser sous son doigt décharné la paupière muette du dormeur des monts ressuscité parmi le son des déchirements fermés par un éclair de luciole à peine esquissé du fond de son cercueil de sourire paré de colliers de dents en dentelles éventrés de caries forées dans l'acide du sucre sirupeux des premiers signaux d'une bouche gavée d'os limés dont la limaille attend les escrocs acérés comme la perche forcée à cueillir des pavés gros comme des étoiles humides comme des lèvres ouvertes comme des portes transparentes comme un signe de main maladroitement gantée d'un velours exploré dans la première âme venue autour d'un thème choisit par un troupeau d'aïeux et accepté par ces paires d'oreilles attentives qui n'auront plus qu'à déchiffrer la franchise d'un miroir aux prémonitions de chronomètre s'affichant par impulsions contractiles et par balbutiements recroquevillés en étincelles électriques suivies de trajets d'ions propulsés à l'essence de carbone pur comme chaque éclat explosé des pixels centrifuges craquelant les écrans d'un magnétisme protecteur qui se confond aux angles secs et durs d'un triangle isocèle tracé à la vue et au nez d'un complément cloué sur une surface bricolée de manière à ce que la preuve de la compétence délurée d'un maniaque des mots et des images s'expulse dans la direction annoncée par ce pilote désormais saoul de sons et d'odeurs de plantes qui poussent sous un éclairage au néon installé dans une armoire de garage bricolée d'éléments de boucliers et de verbes qui prononcent sa nuance de façon à l'inscrire en marge d'un progrès proclamé à l'aube de son ultime duel avec le monde et dans la digne lignée du clivage des marées montantes d'intentions déferlantes qui fourniront encore longtemps des masses d'éléments et des causes d'enquête à d'adéquats partis laissés avec une option inconnue aux abords de l'aube épineuse et passagère du front qui suffit à l'homme toujours moderne pour condenser en ces petites gouttelettes savonneuses de vérité qui fardent les yeux de l'architecte comme une maigre grue à la portée d'un phare accélère sur la route circulaire et au passage glacé de sa roue foraine décidée à ne projeter de terme à sa douleur que dans les profondeurs et l'impénétrabilité de la paix répendue comme le sang sur le monde et soudable à des armoires garnies d'eau fraîche et de verts pâturages laizée de marges perpétuelles comme laréminiscence du décès vital de la grande ourse abandonne déjà loin en amont ses allures ampoulées de casserole percée à un trou noir béant de laiton cuivré qui laisse s'écouler le temps des choses et les époques d'une année sans l'éveil matinal ni le bâillement défiguré au charisme inébranlable d'un gardien de la nuit en armure de templier céleste ou de l'ange qui tend à froisser sous son doigt décharné la paupière muette du dormeur des monts ressuscité parmi le son des déchirements fermés par un éclair de luciole à peine esquissé du fond de son cercueil de sourire paré de colliers de dents en dentelles éventrés de caries forées dans l'acide du sucre sirupeux des premiers signaux d'une bouche gavée d'os limés dont la limaille attend les escrocs acérés comme la perche forcée à cueillir des pavés gros comme des étoiles humides comme des lèvres ouvertes comme des portes transparentes comme un signe de main maladroitement gantée d'un velours exploré dans la première âme venue sous la gouvernance de l'écrivain cloîtré dans sa page de glaise mouillée et qui souffre en pensant au gouffre de l'éternelle promesse d'un point lointain qu'un lecteur assidu ou plus vertueux qu'un astronaute cherchera aux sources tropicales de l'esprit comme une fin en soi qui saurait dérouler son ruban sans s'en servir avant pour en lasser les pieds de chaises et les allées qui coupent la régularité des lignes tracées avec leurs séquences verdoyantes comme des rails verticaux pour des trains à vapeur d'opium qu'on sent monter au ciel d'automne avec des bulles de sagesse duveteuses comme la pensée désinvolte d'une plume sait planter l'illusion d'une robe de mariée dans le cœur éparpillé des filles modèles où vient à naître un terreau noble comme la plupart des condamnés en savourent la témérité jusqu'à ce que la dernière pluie efface même jusqu'à l'envie de plonger son corps tout entier dans des moquettes usagées et de se mettre sous l'orteil un lopin de contrariété comme l'immense tâche médusée qu'il reste toujours à accomplir et qui s'arrange pour ne jamais se faire tout à fait invisible quand même la fin est endiguée pour nous permettre de confondre la notion de la réalité du monde tangible avec le sentiment particulier qui pousse ce qui est encore à être soi sans apparaître autrement que délayé dans l'essence de son galbe dressé contre un futur de paroles feutrées et d'harmonies fidèles qui jettent à la fracture des plaques tectoniques ce que partagent deux chambres nuptiales dans un hôtel de passe que nous joindrons lors d'un parcours d'une aubaine incertaine pour prétendre que l'existence démange par tous les pores de la peau et que la vigueur la dérange par la mort dont elle se borde du sceau sans compassion retenue pour l'ordre des âges nonchalants accaparés de choses corrompues à achalander pour des voeux encore à émettre dans un bouillon de l'instant comme on s'éprend de la certitude même de la vie qu'on aura extrait depuis la prison utérine à une existence écartelée entre l'inné de l'innocence et la lisière inexplorée du seuil de délivrance qui s'aperçoit comme hérissé en crêtes lanternées avec les vagues arrêtées à l'estuaire du lancement et de l'histoire et qui répand ses prolongement dans l'isolement perpétuel de la matrice jusqu'à atteindre les replis à conserver malgré les remous et la persistance des artifices d'un avenir qui arase les pensées à la superficie de la réalité et exagère ses victoires comme celle de l'échec moral et de la honte en habit coloré d'un rouge comme celui du sang et cuisant comme la gloire stoppée d'un coup de dé expurgé de la main de son maître et libéré comme le génie de nommer s'est défait de la bouche et court à nu sous le langage pour qu'un doigt riche en félonie le désigne tout personnellement à la vue de la science et au respect de la croix qui oblige à admettre les ratures et les pattes de mouches laissées au coin de la bouche avec des miettes de mots mal terminés qui s'adonnent ensemble à la friche et semblent répondre d'un sacrifice le plus certain d'entre ses homologues à contempler sa propre mélodie composée comme la cité idéale est bâtie par des dieux dans un savant mélange de cercles concentriques liés autour de l'unique grain de sagesse perdu au coin du nombril de l'humain et de sa femme siamoise par le sexe comme par leurs intenses ignorances dans le domaine des larmes et dans le sang qui heurte du poignard les tombes et les miroirs tendus sous les cloisons flegmatiques du corps couché à même le sol de pierre battue par le pas des charrues tirées par des chevaux moteurs à peine précipités sur des voies ombragées et bercées d'un vent calme comme l'histoire est celle qu'on veut de la respiration tactile de l'enfant encore né qui caresse le fluide du confort à la pointe de ses frêles épaules et écoute les secondes tombées des nuages à l'avenirs qui frappent le temps à rebours comme le fait aux carreaux des horloges instinctives du forgeron exténué à son travail éternel par le tourment de ses cheveux dressés en antennes prolongées de songes ordinaires baignés d'amour mensongers comme la dictée formelle de l'indélébile mémoire exhale une aurore meilleure au sein de sa vertu dont le venin maintient le destin bâillonné comme une passion prisonnière d'une cage en os aux barreaux thoraciques oppressés de poussée par le martèlement pulmonaire qu'assourdit le tumulte d'un cyclone de cellules sous le joug implacable d'une sentinelle avide