Q : qu'une chronique de la puissance et de la gloire de l'art à visage d'animal martyrisé se déforme sous le cou du monde qui porte tant de respirations cannibales qu'une souris ivrogne se prend pour un peintre repu de champignons de saison et se croit digne des souches multiples qui rongent le fondement des épis de la victoire pour devenir un autre récrit dégusté avec un groupe de doigts profondément gravés dans la masse et dans la teinte puissante qui se dégage de l'ignorance totale du désordre ambiant dont fait preuve la ménagère et par laquelle l'occasion du chaos isolé sème le doute au firmament des sciences occultes comme l'ustensile ménager le plus moderne d'un siècle de vie sportive passée à s'étendre à plat ventre dans une plage large de sable brûlant se fait rapidement hostile à la culture en batterie des chevaux de bataille comme la présence accumulée de l'ennui volontaire délasse les myriades de châteaux de confiseries diverses et d'armes blanches qui jonchent l'horizon et se postent en faction de vitres dégivrée par l'envie couronnée de succès de se voir ainsi courroné de lauriers au dos d'un soleil éclatant comme l'éclair huilé de la mer miroite au sommet de son prestige et reflète des pépites acidulées qui pétillent à l'oeil comme de petit grains de sucre sous la langue qui sont autant de feux d'artifices que de mots qui éclatent dans le ciel de la capitale quand vient enfin le soir d'une fête datée