Quotient : le poème, à lui seul, est son propre personnage. Il a ses tempêtes et ses univers. Il semble tirer sa vie de l'énergie qu'on met à en tourner la page. Sangsue au plis du cou du lecteur, il vit hors de contrôle. Il donne naissance à des légions, des divisions, gardiennes de la porte, garantes de son cirque dont il faut être le jongleur pour se faire accepter.