Ruine : ceci suit le chaos d'une agonie sans fin, ici gisent les maux d'un sommeil sans écrin. Les flammes vacillent contre le mur des larmes et le reflet du mal sur le tranchant de l'âme. Noyée sous un regard, la folie se déplace, ici glissent les mots d'un cauchemar qui passe. Ravagée, au matin, et consumante encore, surgit hors du miroir l'affre qu'une ange adore.