Autre : ici, un sarcophage enveloppe la cloison attenante comme un lierre une partition aussi abritée du cocon que désireuse de dire : "moi seule", double qui s'y couvre et chantonne à demi cachée. Juste écouter chez elle, c'est déduire le solfège des rides de son nombril, de l'intérieur de l'outre même. La curiosité forge doucement le défaut à l'alter ego, et commence, ainsi, de part les deux, le doux travail du bousier dont l'épreuve est humaine. Conduites rebelles pour une chenille, un vers, la tentative tend au suicide. La fleur tournante, centrale, exprime sa noirceur comme à travers un filtre, ses fibres, ses pores, qu'elle élimine, et si l'aile s'y pose, la plante est carnivore, la querelle probable, l'applaudissement des poumons rois et le dernier râle mystérieux qui se perd dans les plis. Difficile d'être un tout univoque : on se croit souvent trop seul. Les appels intérieurs nécessitent l'examen du scaphandrier. Puisqu'il est auparavant désireux de savoir, il avance par imitations. Aussi, même lorsque la porte frappe, sauf lettre à lettre, personne qui tienne à soi ne lira cette dernière phrase : qui est là ?

 

* On a longtemps pensé que les larmes du crocodile étaient celle du malheur d'avoir à manger des hommes, jusqu'à ce qu'il dévore nos mères et nos enfants.