Donne : un tout nouveau tour pour les personnages. Une limite franchie. La profondeur de chaque lettre tranche au soc ou au scalpel dans le limon épais et calme d'un champ de bataille sémantique comme autant de textes enterrés derrière la couche de papier qu'ils explorent, à leur dernière introduction. Chemins de croix libertaires. Personne pour réclamer son reste. Décachetées, enfin lisibles, chacune recompose sa propre bible à partir du détail des mots. Mon guide, la comète, réplique ses outils. En théorie, vingt-six suffisent. Condition nécessaire et suffisante. L'église débarrassée de sa religion, son bras allongé plonge sous l'amas des cendres dans un brouillard trop complexé pour ne pas nous accorder nos vieilles chances respectives, et pour former un monde renvoie à la ligne. La mode est à la réorganisation en mosaïque des morceaux d'une parole annoncée. Signe d'une mise en marge à ne pas laisser sans commentaire. Seul le temps se compte. Débattements désordonnés sous la mèche, alors que la seconde s'écoule à perte de vue sur une tige de cire. Cercle sans issue. On vous aura prévenu. Elle semble s'entretenir de sérénité, jusqu'au coup de genou involontaire mais forcé qui la renversera. A l'avenir, je ferai plutôt semblant de lire.