Epaule : il y a le feu, qui court, haussé sur son char, entre le talisman et l'expiration de la brèche, et une mèche, brisée d'avance, qui germe au flanc distendu de la colline voisine comme le compliment d'une bombe fauchée bascule dans les girons de la mémoire. Il semble qu'elle est d'une flore retenue dont la déflagration s'étiole à l'approche de l'étranger et pointe la flèche en son sein pour éloigner le but, sa suite en bas de la page. Elle cache une ligne de faible amplitude et l'arc oblitéré de son rendez-vous ; un vêtement de grains tissés sur lequel s'appuie l'embrasement. Mais revenons à la coupe des voeux miraculeusement détachée de son plan par la secousse d'un caillou rond, froid, et qui recueille d'un tour de bras la plupart de ses braises agiles : les débris de sa chevelure de vitrine claire laisse un carré illuminé sur le pavé des villes mortes. Une croix sombre au milieu indique où elle n'est pas. Trésor brillant d'espoirs. Malgré le chanfrein évident tracé par ce lourd attelage dans la frange de sa peau limoneuse, défiant, je dois distinguer ma page dans la fêlure de spectre de son profil. La faute lutte pour être à son côté, jamais avec.